Le métier d’archiviste menacé par l’IA ? Cette phrase pouvait encore paraître exagérée hier. Aujourd’hui, elle fait la une. Dans une étude récemment dévoilée, Microsoft dresse une liste glaçante des 40 métiers les plus exposés à l’impact de l’intelligence artificielle. Et parmi eux, le métier d’archiviste se trouve à la 30e position des métiers potentiellement bouleversés par l’IA.
Comment expliquer cette présence surprenante ? Pourquoi un métier si ancré dans la rigueur intellectuelle et la mémoire des sociétés devient-il vulnérable face aux algorithmes ? Que faut-il comprendre derrière ce signal d’alerte ?
Car il ne s’agit pas d’un simple changement d’outils, mais d’un véritable bouleversement de l’identité professionnelle. L’IA n’épargne plus personne. Ni les caissiers, ni les comptables…, ni les professionnels de l’information documentaire. Bibliothécaires, archivistes, documentalistes, tous doivent repenser leur rôle à l’ère des technologies intelligentes.
Tri automatisé, rédaction de résumés, extraction de métadonnées… les tâches archivistiques sont de plus en plus assurées par des intelligences artificielles. Faut-il céder à la panique ou s’adapter en urgence ?
Dans cet article, nous décryptons pourquoi le métier d’archiviste est en première ligne. Ce que cette évolution implique, et comment les professionnels peuvent se préparer à cette mutation inévitable.

Le métier d’archiviste menacé par l’IA : Microsoft sonne l’alarme
Une étude révélatrice sur les métiers en danger face à l’IA
Quand les professions intellectuelles sont directement menacées
Pourquoi le métier d’archiviste est menacé par l’IA ?
L’automatisation des tâches documentaires : une réalité déjà installée
La 30e place sur la liste : un classement qui interpelle
L’IA transforme le travail : mutation ou disparition du métier d’archiviste ?
De nouvelles compétences pour de nouveaux enjeux
Vers un archiviste augmenté plutôt qu’évincé ?
Bibliothèques, centres d’archives, institutions : tous concernés
Se réinventer ou disparaître : le choix des archivistes face à l’IA
Le métier d’archiviste menacé par l’IA : Microsoft sonne l’alarme
Et si votre métier disparaissait plus vite que prévu ? C’est le scénario que dessine Microsoft dans une étude majeure publiée en juillet 2025. En analysant plus de 200 000 conversations réelles entre utilisateurs et Copilot, son IA générative intégrée au moteur Bing, la firme révèle les métiers les plus exposés à l’intelligence artificielle.
Une étude révélatrice sur les métiers en danger face à l’IA
Cette étude ne repose pas sur des suppositions, mais sur des données concrètes d’usage. Elle dresse une carte inédite des professions où l’IA est non seulement utilisée, mais efficace, rapide et de plus en plus indispensable.
Et le constat est clair. Les métiers intellectuels sont désormais en première ligne. Finie l’idée reçue selon laquelle seules les tâches répétitives ou manuelles seraient automatisées. L’IA s’infiltre désormais dans le cœur des professions dites de “connaissance” : rédaction, gestion, communication, documentation, etc.
Réfléchissez à ceci : que se passe-t-il lorsque l’IA est capable de rédiger, classer, synthétiser ou même conseiller… mieux qu’un humain, et en quelques secondes ?
Microsoft a donc attribué à chaque profession un score d’applicabilité IA. Une mesure qui combine la fréquence d’usage, le taux de réussite et la portée des actions accomplies par l’IA dans les tâches liées au métier. Résultat : de nombreux métiers subissent déjà un bouleversement silencieux, mais profond.
Parmi les 40 métiers les plus concernés, on retrouve sans surprise des journalistes, traducteurs, téléconseillers. On y retrouve aussi les métiers de l’information et de la documentation, dont le métier d’archiviste. Oui, le métier d’archiviste est menacé par l’IA.
Il figure à la 30e place du classement, devant des professions techniques pourtant perçues comme plus « exposées ». Cela signifie que les outils d’IA réussissent déjà à accomplir efficacement une part significative du travail des archivistes.
En lisant cela, vous vous demandez peut-être :
- pourquoi précisément les archivistes ?
- quelles tâches sont réellement en danger ?
- comment réagir face à cette montée en puissance des intelligences artificielles dans les métiers documentaires ?
La suite de cet article vous apportera des réponses concrètes.
Quand les professions intellectuelles sont directement menacées
Pendant longtemps, on a cru que les métiers les plus vulnérables à l’automatisation étaient ceux nécessitant peu de qualifications ou à forte composante physique. Mais avec l’avènement de l’intelligence artificielle générative, ce sont désormais les professions intellectuelles qui vacillent.
L’étude de Microsoft le confirme : les métiers du savoir, autrefois considérés comme « protégés », sont parmi les plus exposés à une transformation brutale par l’IA. Rédacteurs, chercheurs, analystes, enseignants, documentalistes… et archivistes : tous ont en commun de manipuler de l’information, de la structurer, de la transmettre ou de la préserver.
Or, ce sont justement ces activités de traitement, de classification, de rédaction et de conseil que les IA, comme Copilot ou ChatGPT, exécutent désormais avec une efficacité redoutable. Selon Microsoft, les tâches les plus souvent réalisées avec succès par Copilot sont :
- la recherche d’informations (gathering information),
- la rédaction et l’édition de contenus,
- l’explication de concepts,
- la communication de données à autrui.
Ce sont des compétences au cœur de tous les métiers de l’information documentaire, y compris celui d’archiviste. Le métier d’archiviste face à l’intelligence artificielle devient donc hautement vulnérable, non parce qu’il manque de valeur, mais parce que ses missions sont imitables par les IA.
Ce danger n’est pas une projection dans 10 ans. Il est déjà là, ancré dans les usages quotidiens. Le métier d’archiviste menacé par l’IA, c’est aussi celui de beaucoup d’autres professionnels de l’intellect. Et à mesure que les IA progressent, la frontière entre « aide » et « remplacement » devient de plus en plus floue.
Pourquoi le métier d’archiviste est menacé par l’IA ?
Le rapport de Microsoft met en lumière l’impact de l’intelligence artificielle sur le métier d’archiviste. Il remet en cause des tâches jusqu’ici perçues comme hautement spécialisées. Des outils performants existent déjà pour améliorer la gestion de vos archives, et l’IA y joue un rôle croissant.
L’automatisation des tâches documentaires : une réalité déjà installée
Ce n’est plus de la science-fiction. L’automatisation dans les métiers documentaires est bien réelle, active, et déjà en train de changer la donne. Pour ceux qui en doutent encore, le rapport de Microsoft est sans appel. L’IA assiste, complète, et parfois remplace des tâches historiquement réservées aux professionnels de l’information.
Parmi ces métiers, le métier d’archiviste menacé par l’IA attire particulièrement l’attention. Voici quelques exemples concrets de tâches archivistiques que l’intelligence artificielle accomplit déjà :
- classement de documents selon des logiques thématiques ou chronologiques ;
- génération automatique de résumés ou d’introductions pour des fonds d’archives ;
- extraction de métadonnées à partir de fichiers texte, image ou audio ;
- recherche d’informations contextuelle sur un document, une personnalité ou une date.
Et ce, en quelques clics, à grande vitesse, avec un bon taux de satisfaction. Ces fonctions, longtemps considérées comme des compétences techniques et expertes, sont désormais accessibles au grand public via des assistants IA. Ces fonctions sont désormais intégrées à de nombreuses solutions d’archivage électronique, parfois même sans accompagnement humain.
L’IA, un nouvel assistant… ou un concurrent silencieux ? Aujourd’hui, il est courant qu’un service d’archives utilise un logiciel pour automatiser le tri ou la numérisation. Mais demain, ce sera l’IA qui proposera des arborescences complètes, voire répondra directement aux demandes des usagers.
Dans ce contexte, la question n’est plus « l’IA va-t-elle remplacer l’archiviste ? », mais « quelles tâches resteront entre les mains de l’humain ? »
En valorisant des solutions « gain de temps », les institutions risquent d’oublier que la valeur d’un archiviste réside aussi dans :
- son regard critique,
- sa capacité à contextualiser, à évaluer la valeur d’un document,
- et sa capacité à prendre des décisions éthiques ou patrimoniales.
Mais soyons lucides : plus l’automatisation progresse, plus la pression sur le rôle humain s’intensifie. Et sans adaptation rapide, même les professionnels les plus compétents risquent de se retrouver marginalisés.
La 30e place sur la liste : un classement qui interpelle
C’est la place qu’occupe le métier d’archiviste dans la liste des professions les plus affectées par l’intelligence artificielle. Ce chiffre pourrait sembler anodin, mais il ne l’est pas. Il place les archivistes devant des professions techniques ou numériques réputées comme plus sensibles à l’automatisation.
Pour établir ce classement, Microsoft s’est basée sur trois critères :
- le niveau d’usage de l’IA dans les tâches liées à chaque métier,
- le taux de réussite de l’IA sur ces tâches (mesuré par la satisfaction utilisateur),
- et la portée des actions accomplies par l’IA (simple aide ou remplacement complet).
Résultat : le métier d’archiviste obtient un score de 0,35, soit une exposition significative, avec :
- 66 % de ses activités couvertes par l’IA dans les données collectées,
- un taux de réussite de 88 % sur ces activités,
- et un impact modéré à fort dans près de la moitié des cas analysés.
L’IA s’inscrit aussi dans une logique de gestion documentaire durable, qui interroge la valeur des originaux physiques après numérisation.
En d’autres termes, presque 1 tâche sur 2 réalisée par un archiviste peut déjà être effectuée par une IA, et souvent avec efficacité. Ce classement n’est pas seulement symbolique. Il agit comme un miroir brutal pour les institutions, les écoles de formation et les professionnels eux-mêmes.
Le message est clair. Le métier d’archiviste est désormais jugé exposé, automatisable, et donc menacé. Cela ne signifie pas sa disparition, mais cela appelle une remise en question immédiate. Car le risque n’est pas l’IA elle-même, mais l’inaction face à ses capacités grandissantes.
La 30e place n’est pas une condamnation, mais une alerte. Allons-nous continuer à exercer comme si de rien n’était ? Ou allons-nous saisir cette opportunité pour redéfinir le rôle stratégique de l’archiviste dans un monde numérique et automatisé ?

L’IA transforme le travail : mutation ou disparition du métier d’archiviste ?
Le risque n’est plus hypothétique. Certaines institutions expérimentent déjà des outils où l’archiviste est partiellement remplacé par une intelligence artificielle.
De nouvelles compétences pour de nouveaux enjeux
Face à l’essor fulgurant de l’intelligence artificielle, le métier d’archiviste menacé par l’IA n’est pas voué à disparaître… mais à se transformer radicalement. La menace ne vient pas seulement de la technologie elle-même, mais de la capacité ou non des professionnels à évoluer avec elle.
L’archiviste du futur : un profil hybride
À l’ère des agents conversationnels, des outils d’indexation automatisée et de la recherche intelligente, l’archiviste ne peut plus se contenter de compétences traditionnelles.
Voici quelques compétences clés qui s’imposent désormais :
- culture numérique : comprendre le fonctionnement des IA, savoir exploiter leurs résultats, mais aussi en connaître les limites ;
- maîtrise des outils d’IA générative : prompt, IA de classification, analyse sémantique, résumé automatique…
- expertise en gouvernance de l’information numérique : gestion des métadonnées, formats pérennes, sécurité et accessibilité des données ;
- veille juridique et éthique : anticiper les enjeux liés aux droits d’auteur, à la confidentialité, et à la manipulation de l’information ;
- esprit critique et capacité de validation : face à des résultats produits par IA, l’humain reste garant de la qualité, de l’exactitude et du contexte.
Le métier d’archiviste menacé par l’IA : un nouveau rôle à assumer
L’archiviste devient un chef d’orchestre de l’information numérique, capable de :
- configurer les outils d’automatisation,
- corriger les biais des algorithmes,
- former les usagers et les équipes à une utilisation responsable de l’IA,
- coordonner l’humain et la machine dans le processus archivistique.
Autrement dit, ce n’est pas la tâche qui fait l’archiviste, mais la valeur ajoutée qu’il apporte dans un environnement automatisé. En parallèle, les risques informationnels se multiplient. Il est impératif de respecter le RGPD, planifier des procédures de sauvegarde, voire des destructions sécurisées.
Et vous, êtes-vous prêt ?
Posez-vous la question :
- que puis-je faire que l’IA ne sait pas (encore) faire ?
- comment puis-je me rendre indispensable dans un monde où la machine devient un collègue ?
Car si l’intelligence artificielle transforme les métiers, elle redessine aussi les parcours. Et ceux qui sauront s’adapter deviendront les acteurs clés de cette nouvelle ère documentaire.
Vers un archiviste augmenté plutôt qu’évincé ?
Et si l’intelligence artificielle n’était pas une menace… mais une chance inespérée pour réinventer le métier d’archiviste ? Le rapport de Microsoft ne dit pas que l’IA remplacera l’humain dans tous les cas.
Il montre surtout que les tâches les plus routinières, les plus répétitives ou les plus techniques sont les premières à être absorbées. Mais il reste une place centrale à l’humain, à condition qu’il se positionne différemment.
L’IA comme coéquipier, pas comme remplaçant
La transformation du rôle de l’archiviste à l’ère de l’IA nécessite de redéfinir sa valeur ajoutée dans un environnement numérique. Plutôt que de craindre la machine, il est temps de l’intégrer comme un outil stratégique. Un archiviste augmenté est un professionnel qui :
- délègue à l’IA les tâches simples ou lourdes (tri initial, rédaction de résumés, recherche contextuelle),
- et se concentre sur ce que seul l’humain sait faire : l’analyse, l’évaluation, la contextualisation, la transmission patrimoniale.
Il ne s’agit plus de faire moins avec la machine, mais de faire mieux grâce à elle.
Le métier d’archiviste menacé par l’IA: vers un changement de posture
Cette transformation implique aussi un changement d’état d’esprit. L’archiviste augmenté devient :
- un curateur de données, capable de guider l’IA dans ses actions ;
- un médiateur entre la mémoire et les technologies, garant de l’authenticité des documents ;
- un formateur, chargé d’enseigner aux usagers comment naviguer dans des systèmes d’archivage hybrides, semi-automatisés.
Dans ce nouveau modèle, l’IA ne vole pas le travail. Elle déplace les priorités. Elle libère du temps pour des tâches à plus haute valeur : veille, stratégie, innovation, médiation culturelle… La distinction entre records management et knowledge management devient d’ailleurs essentielle à comprendre dans ce contexte.
Mettre en place une stratégie de veille informationnelle et choisir une GED ou un SAE adapté devient un prérequis pour rester compétitif. En somme, le métier d’archiviste menacé par l’IA n’est pas condamné. Il est en pleine mue. Soit on résiste et on s’éteint. Soit on évolue et on redéfinit le sens même du métier.
L’archiviste de demain ne sera pas celui qui fait comme avant. Ce sera celui qui saura combiner sa maîtrise documentaire à l’intelligence artificielle, pour devenir un acteur clé de l’ère numérique.
Bibliothèques, centres d’archives, institutions : tous concernés
Le séisme provoqué par l’intelligence artificielle ne s’arrête pas aux portes des services d’archives.
Il secoue tout le secteur de l’information documentaire : bibliothèques, centres de documentation, médiathèques, institutions culturelles, et même les services d’information des entreprises.
Tous les métiers du patrimoine documentaire sont concernés. Aucune structure n’est épargnée. Dans une bibliothèque universitaire, l’IA peut désormais :
- résumer un ouvrage complexe à partir d’un PDF,
- générer une bibliographie en quelques secondes,
- répondre aux questions des usagers via un chatbot intelligent.
Par ailleurs, dans les bibliothèques, la transition numérique s’intensifie, avec de nouveaux outils pour attirer les usagers et valoriser les fonds. En outre, le métier d’archiviste menacé par l’IA ne concerne pas seulement les individus, mais les structures entières.
Si les institutions ne prennent pas le virage numérique de manière encadrée et stratégique, elles risquent :
- de déléguer à la machine ce qui relève d’un jugement humain,
- de perdre le contrôle sur la chaîne de traitement documentaire,
- ou pire, de voir leurs métiers fondre sans avoir anticipé la mutation.
Sans stratégie adaptée, les institutions risquent de subir de plein fouet la mutation des métiers de la mémoire. Les établissements doivent répondre à une question simple. Quelle place voulons-nous donner à l’IA dans nos métiers de l’information ?
L’enjeu dépasse ainsi l’individu. Il touche :
- les décideurs institutionnels, qui doivent investir dans la formation et la réflexion éthique ;
- les professionnels, qui doivent monter en compétences pour coexister intelligemment avec l’IA ;
- les usagers, qu’il faut accompagner dans un monde où l’accès à l’information devient instantané, mais parfois déshumanisé.
Même les petites structures ne sont pas épargnées. Une solution d’archivage adaptée aux PME devient indispensable pour rester conforme et efficace.
L’impact de l’intelligence artificielle n’est pas une mode passagère. C’est une transformation systémique.

Se réinventer ou disparaître : le choix des archivistes face à l’IA
Le métier d’archiviste est menacé par l’IA, n’est pas un mythe. La numérisation et l’automatisation des tâches documentaires redessinent profondément les métiers de l’archivage. Mais ce n’est pas une condamnation. C’est une alerte. Un point de rupture, mais aussi de renouveau.
Car si l’intelligence artificielle automatise de nombreuses tâches, elle ne remplace ni la mémoire humaine, ni le sens critique, ni la responsabilité éthique. L’avenir du métier d’archiviste face à l’intelligence artificielle ne dépendra pas seulement des technologies, mais de la capacité du secteur à évoluer.
Ce que l’IA accomplit en volume, l’humain l’enrichit par la valeur. C’est donc maintenant que les professionnels des archives doivent agir. Attendre, c’est céder du terrain. Prendre les devants, c’est rester maître de son avenir. Comment ?
- en se formant aux outils d’IA documentaire,
- en développant une veille active,
- en rejoignant les réseaux, les débats, les groupes qui façonnent l’avenir de l’information,
- en repositionnant son rôle sur l’analyse, la médiation et la transmission.
Chaque compétence que vous développez aujourd’hui vous rend plus visible, plus indispensable… plus humain dans un monde automatisé. Ne subissez pas la transition. Soyez-en l’acteur.
Pour répondre à ces enjeux, les formations évoluent. Des licences et masters en archivistique ou documentation intègrent désormais des modules sur l’IA et la transformation numérique.
S’adapter, ce n’est pas renoncer à l’essence du métier d’archiviste. C’est lui offrir une seconde vie, enrichie, augmentée, et pleinement ancrée dans les enjeux de demain. L’IA n’efface pas votre utilité. Elle redéfinit votre place. À vous de la reprendre.
Si vous envisagez une spécialisation, pensez à consulter nos guides sur les études en archivistique, les bourses disponibles, ou l’accompagnement par Campus France.
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Très enrichissante cette analyse faite sur une problématique au cœur du métier archivistique. Cela démontre que l’archiviste d’aujourd’hui ne doit plus se contenter des méthodes et techniques traditionnelles, mais plus avancées en s’adaptant aux numériques.
Le métier d’archiviste est menacé par l’IA ne doit pas être perçu comme une perte totale du métier par l’humain, mais une alerte qui oblige l’archiviste à se révolutionner, à se moderniser, à se former et à s’adapter à la mutation grandissante du numérique.
Avec cette analyse, je comprend que l’IA devient un copilote, un accompagnateur et assistant pour un archiviste qui s’y prend et s’adapte.
Alors chers archivistes, ne laissons pas l’IA exercer notre métier à notre place, mais soyons son maître dans notre métier. Faisons de l’IA une valeur ajoutée à notre métier et non le contraire.
Merci beaucoup à toi cher ami Randolphe AGLIKPO pour cette mise en lumière.