Le mercredi 15 février 2023, un accord de coopération entre le Cap-Vert et l’île de Madère au Portugal a été signé dans le secteur de l’entrepreneuriat numérique. L’accord a pour but la stimulation de l’entrepreneuriat numérique dans l’union.
Il est entre l’institut « Cabo Verde Digital » et le start up Madeira. Découvrez les contours de cette coopération dans la suite de cet article.
L’importance de l’accord de coopération entre le Cap-Vert et l’île de Madère au Portugal
A l’instar du Sénégal qui a enrichit son écosystème numérique par la mise en place du Datacenter Onix, le Cap-Vert y travaille aussi.
Alors que plusieurs projets digitaux sont encore en chantier, le Cap–Vert noue d’importants partenariats avec divers pays. Après le Sénégal pour le projet d’interconnexion, c’est au tour de l’île de Madère au Portugal.
Ces différentes coopérations s’inscrivent, rappelons-le, dans la dynamique du projet de transformation numérique du Gouvernement cap-verdien. Cet accord de coopération entre le Cap-Vert et l’île de Madère au Portugal vise à contribuer à l’entreprenariat numérique.
L’avantage d’un tel projet d’accord de coopération est de responsabiliser les jeunes entrepreneurs dans le domaine du numérique. Aussi, ce partenariat favorisera un espace d’échange et de partage en commun.
Deux régions qui œuvrent pour une transformation digitale positive
Les deux régions ne sont pas loin l’une de l’autre sur le plan du développement technologique. Le Cap–Vert ambitionne devenir « la porte d’accès à l’Afrique pour les grandes compagnies technologiques internationales ». Et pour y arriver, la région réceptionne pour bientôt « son parc technologique » pour un coût de 40 millions d’euros.
Quant à l’île de Madère, elle œuvre depuis 1997 à travers le start up Madeira pour le développement de l’écosystème numérique. Plusieurs projets étaient initiés dans le but de favoriser le développement des entreprises innovantes et numériques.
L’accord de coopération numérique entre le Cap–Vert et l’île de Madère est très capital pour les deux régions. Ils ambitionnent faire de l’écosystème un levier de développement durable.
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